A Rome, des amis nous mettent en contact avec le Cardinal Van Thuan. Il nous reçoit avec beaucoup de charité fraternelle. Nous passons une journée avec lui et il nous parle surtout de son pays. Lui aussi nous invite à nous rendre le plus rapidement possible au Vietnam. Ce grand Cardinal qui a beaucoup souffert car il a passé treize ans dans plusieurs prisons de son pays, accepte de venir l’année suivante à Besançon, pour donner son témoignage au Festival de l’Espérance.
Il reviendra une autre année à un Festival que nous donnerons dans le Jura.
Tous ces amis nous aident à aimer le Vietnam où nous irons cinq fois travailler non seulement à la grande léproserie de Saïgon, mais dans d’autres léproseries du Nord. C’est le responsable des grandes endémies au ministère de la Santé qui nous demander de nous y rendre. (à suivre)